parole à mon Ô tiste

2 juin 2006

jen_ai_marre10

Et je transporte mon mal à l'âme

Comme une sourate indélébile

Et je suis triste à en pleurer

Et oui petite soeur

Tu es morte ce matin

Désolé de ne pas te l'avouer

Mais les oraisons funèbres qui se pâment

Comme une rancoeur indescriptible

Mais je suis triste à en crever

Mais oui petite soeur

Tu n'es plus que mon chagrin

Désolé de t'oublier

Posté par aloua à 20:26 - Commentaires […] - Permalien [#]

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des mots cachés

Certains ne deviennent jamais fous... Leurs vies doivent être bien ennuyeuses.(Bukowski)

Commentaires

megarde (5)

05/06/2006 19:32

Merci d'avoir pris la peine ) je pousserais jusk a dire que ta soeur est un phare pour toi? hm... non... me suis assez planté comme ça.

aloua

05/06/2006 15:37

Et bien... Je suis sur d'une chose... Je ne suis pas sur de te dire que tu as juste mais je suis certaine que tu n'as pas entièrement faux... Certes... C'est plus une illustration de mon poême... Je l'aies est prises lors d'une soirée refaisage de monde, dans un appart de 10 m2 une toile tissée par deux hydropathes et un bateau qui volent sur le lagon des âmes perdues... Une envie de lire à travers les mailles de la vie, de partir de mettre les voiles de mes ennuis, et une pensée à ma soeur qui m'éclaire quand même...

megarde (5)

04/06/2006 17:45

Ha cette fois-ci je pense que je sais commenter: les bouts de laine ce sont les interactions de la vie, les liens tissés voire imposés, les ponts jetés entre les âmes, le bateau c'est toi... le vent est parfois contraire, cela n'empêche pas que le capitaine ne sache pas quelle devrait être sa route, il ne la suit pas toujours. J'ai bon? (question bête, je sais)